Chez Together for Girls, nous pensons qu’être un(e) bon(ne) ami(e) signifie être en mesure de savoir quoi dire quand et si un(e) ami(e) partage son expérience de violence sexuelle avec vous. Si un(e) ami(e) se confiait à vous, sauriez-vous quoi lui dire ? Veuillez poursuivre la lecture pour en savoir davantage sur ce qu’il faut faire – et ne pas faire – afin que vous soyez prêt(e) à répondre de la meilleure façon possible.
Les choses à faire :
Les choses à ne pas faire:
Les données du VACS montrent que jusqu’à 38 % des filles et 21 % des garçons ont subi une forme de violence sexuelle pendant l’enfance. Parmi ces survivants, seulement près de la moitié racontent leur expérience à quelqu’un. S’ils le font, c’est le plus souvent à un pair. Ils sont moins nombreux à rechercher des soins après un viol, et très peu en reçoivent réellement.
Cela signifie que les amis peuvent jouer un rôle important en mettant les survivants en contact avec des soins cruciaux et urgents. Pourtant, beaucoup de gens ne comprennent pas l’importance de ces soins ou qu’après un viol, chaque heure compte pour prévenir des problèmes de santé qui peuvent durer toute la vie.
Voici quelques données essentielles à prendre en considération dans le court laps de temps pour accéder aux services vitaux :
En répondant de manière adéquate lorsqu’un(e) survivant(e) vient vous raconter son histoire, vous l’aidez à se sentir écouté(e) et pris(e) en charge. Vous pouvez également prendre des mesures pour protéger sa santé et son bien-être. Nous avons besoin de nos ami(e)s, et nos ami(e)s ont besoin de nous – alors faisons le premier pas pour être un(e) bon(ne) ami(e).
Pour en savoir plus sur la campagne de sensibilisation Chaque Heure Compte en matière de soins après un viol, veuillez visiter notre page Chaque Heure Compte ou consulter notre Boîte à outils pour l’Engagement des Jeunes.